Un classique novateur« Si Maillol approche parfois des Grecs du tempsde Phidias, ce n'est pas qu'il les comprenne par quelque applicationintellectuelle, par l'intermédiaire d'un raisonnement ou qu'il lescopie, c'est qu'il sent directement comme eux et que leur perfectionest sienne, véritablement conforme à son instinct. C'est un Primitifclassique. »À lÆoccasion de la grande exposition au Musée dÆOrsay:Aristide Maillol (1861‐1944). La quête de lÆharmonie, casimiropropose les réflexions de Maurice Denis sur lÆúuvre de son collègueartiste.